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    Détail des dents, pas à pas :

     

    Pas à Pas Dents Modèle

    Le modèle

     

     

     

     

     

    Pas à Pas Dents 1

     

    Etape 1 : Imprimez une réduction du modèle ci-dessus et gardez le modèle numérique sous la main tout au long de votre travail.

    Préparez également tout le matériel dont vous aurez besoin.

     

     

     

    Pas à Pas Dents 2

    Etape 2 : Munissez-vous d'une règle graduée, de votre matériel à dessin, et de votre modèle brouillon. Sur ce dernier, vous allez  tracer une grille de proportion.

    Utilisez de préférence le crayon 2H, en veillant à ne pas trop appuyer le tracé. Reportez cette grille proportionnellement à la taille de votre support de dessin. Il s'agira en général d'en faire un agrandissement.

     

     

    Pas à Pas Dents 3

     

    Etape 3 : Les grilles prêtes, esquissez les principaux contours du modèle avec un crayon HB, en veillant à être le plus précis possible sans trop appuyer sur la pointe.

     

     

     

    Pas à Pas Dents 4

     

    Etape 4 : Fignolez les traits de détails toujours au crayon HB, puis effacez les traits de la grille avec minutie.

     

     

     

     

    Pas à Pas Dents 5

     

    Etape 5 : Munissez-vous d’un bout de chiffon en coton, d’un essuie-tout ou encore d’un mouchoir, ainsi que d’une feuille de brouillon.

    Maintenant, nous allons partir du centre de l’image vers les bords en commençant par les dents et la langue.

     

     

    Pas à Pas Dents 6

     

    Etape 6 : Avec le crayon 2B, recouvrez légèrement l’ensemble de l’intérieur de la bouche. Puis estompez à l’aide de votre chiffon, essuie-tout ou mouchoir, en formant de petits mouvements circulaires, jusqu’à ce que les hachures disparaissent.

     

     

    Pas à Pas Dents 7

     

    Etape 7 : Les dents doivent rester claires, quasiment blanches, une couche de crayon estompée suffira donc. Passons maintenant à l’intérieur de la bouche et la langue.

     

     

     

    Pas à Pas Dents 8

    Etape 8 : Toujours au crayon 2B, hachurez un peu plus intensément cette zone foncée quasi noire à l’intérieure de la bouche, puis étalez à l’aide d’une estompe.

    Recommencez l’opération avec le 4B et le 7B, jusqu’à obtenir une teinte assez foncée.

     

     

    Pas à Pas Dents 9

    Etape 9 : A présent, la langue… tracez de petits cercles légers sur toute la zone de la langue avec le crayon 2B. Dans le même mouvement, estompez afin d'essayer de rendre la texture de la langue.

    Rajoutez une ou plusieurs couches de crayon afin de dessiner les ombres. N'utilisez pour l’instant que le crayon 2B.

     

     

    Pas à Pas Dents 10

    Etape 10 : Après avoir dessiné la langue, on s’attaque aux ombres principales des dents, ce n’est pas grave si elles vous paraissent foncées au début, nous allons de toute manière les estomper par la suite.

    Travaillez exclusivement avec l’estompe pour que les ombres restent légères, uniformes et facilement gommables.

     

     

    Pas à Pas Dents 11

     

    Etape 11 : Une fois les ombres finies, nous allons, grâce à une fine gomme, redonné l’éclat et la blancheur aux dents.

    Estompez les ombres par de petits coups de gomme et n’hésitez pas à ouvrir les blancs à certains endroits.

     

     

    Pas à Pas Dents 12

     

    Etape 12 : Recommencez les mêmes étapes avec les dents du haut.

     

     

     

     

    Pas à Pas Dents 13

     

    Etape 13 : Maintenant que les dents sont dessinées, mais à ce stade, pas fignolées et harmonisées avec l’ensemble du dessin, attaquons nous aux lèvres.

     

     

     

    Pas à Pas Dents 14

     

    Etape 14 : La lèvre inférieure : dessinez des traits légers et successifs qui partent du haut de la lèvre vers le bas tout en essayant de suivre les courbes selon le modèle. Puis estompez.

     

     

     

    Pas à Pas Dents 15

    Etape 15 : Recommencez jusqu’à obtenir la teinte désirée puis placez les ombres.

    Dessinez les détails, les nervures, les éclats …

     

     

     

    Pas à Pas Dents 16

    Etape 16 : Recommencez ces mêmes étapes pour la lèvre supérieure.

     

     

     

     

    Pas à Pas Dents 17

    Etape 17 : Une fois les lèvres achevées, ombrez les parties de peau en faisant de petits cercles avec le crayon 4B, puis estompez par de petits cercles.

    Pour finir votre dessin, munissez-vous du crayon le plus gras que vous ayez et accentuez les dernières ombres. Marquez les traits des lèvres, le contour de la joue et du nez ; votre œuvre est achevée !


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    Réaliser un dessin en quelques coups de crayon, ce n’est pas de la magie, c’est du croquis ! Car attention, cet exercice est un art à part entière. Alors où et comment croquer ? Voici quelques pistes...

     

    1. Où croquer ?


    Expérimentez le croquis à la fois en intérieur et en extérieur : les jeux de lumière sont tout à fait différents. Au début, mieux vaut travailler sur des sujets statiques. Vous pourrez passer à des sujets en mouvement après un peu d’entraînement.

    Exemples de sujets statiques :

    des sculptures dans un musée ou un parc, un paysage, un bâtiment, une personne endormie, des spectateurs lors d’un concert ou d’une représentation théâtrale, etc.

    Exemples de sujets en mouvement : des animaux dans un zoo ou un aquarium, des enfants et des joggers dans un parc, etc.

     

    2. Comment croquer ?

    Quelques règles à suivre :

    • Chronométrez-vous. Donnez-vous un temps limité (5 à 10 minutes) par croquis. La pression du temps vous aidera à être plus efficace et à sélectionner les informations les plus importantes.
    • Ne vous acharnez pas ! Si un sujet ne vous inspire pas, passez à autre chose. Le croquis demande de la spontanéité pour obtenir un geste libéré et souple. Si vous vous posez trop de questions, vous risquez de ne plus y arriver.
    • Ne vous contentez pas de faire un seul croquis du sujet que vous avez choisi. Prenez-le sous toutes ses coutures. En vous déplaçant, vous repérerez de nouvelles caractéristiques : point de vue, zones de lumière, perspective, etc.

     

    Réaliser un croquis en valeur

    Facile et rapide, cette méthode consiste à poser uniquement des zones claires et des zones foncées, sans tracer de contours. Elle permet de travailler à la fois les contrastes et les volumes.

    • Travaillez au fusain ou à la mine graphite, en posant des hachures avec l’extrémité ou des aplats avec la tranche.
    • Commencez par la zone la plus claire, puis grisez au fur et à mesure les zones qui l’entourent, en exagérant les contrastes.
    • Poursuivez jusqu’à ce que la juxtaposition des gris rendent la forme du sujet.

     

     

    Combiner croquis et couleur

    Pour associer la couleur à votre croquis, vous avez plusieurs possibilités :

    • Poser rapidement quelques couleurs au crayon de couleur ou au pastel une fois le sujet esquissé. Vous pouvez aussi utiliser une petite boîte d’aquarelle : attention à ne pas oublier d’emporter une petite bouteille d’eau.
    • Si vous n’avez pas de matériel pour poser la couleur, annotez votre croquis en écrivant en toutes lettres les couleurs dont vous aurez besoin et leurs emplacements. Exemple : rouge-banc, vert-pelouse, etc.
    • Dans tous les cas, n’hésitez pas à préciser la nuance sous forme de mots-clés. Exemple : rouge pivoine, vert canard, jaune tournesol, etc.

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    Initiation rime avec modération. Limitez-vous pour commencer à une douzaine de couleurs. Vous enrichirez votre palette ultérieurement : au fil de vos progrès et surtout des thématiques que vous souhaitez aborder.


    Un exemple : si vous êtes plutôt branché botanique, pensez à privilégier les gammes de vert et de marron.

     

    Tubes ou godets ?

    Les godets : Simples d’usage, ils permettent un prélèvement précis de la couleur. Leur présentation aide à visualiser la gamme de couleurs à disposition d’un seul coup d’œil. Facilement transportables, ils s’adaptent parfaitement à la peinture en plein air.

    Les tubes : Recommandés si vous souhaitez travailler la peinture en abondance, quelle que soit la taille des pinceaux, ou effectuer des mélanges sans souiller les couleurs. Attention en revanche, la quantité est plus difficile à doser et le séchage plus lent. À privilégier pour l’exécution de grands formats ou un travail long.

     

     

    Combien de couleurs ?

    Optez pour commencer par une boîte de 12 godets ou un set de 6 ou 10 tubes : avec quelques couleurs choisies sur votre palette, vous pourrez travailler une infinité de combinaisons. Et sachez que même les aquarellistes les plus chevronnés n’utilisent en général qu’un nombre restreint de couleurs.

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    L’acrylique, qu’est-ce que c’est ? Des pigments (identiques à ceux qui composent l’aquarelle ou la peinture à l’huile) agglutinés dans une résine synthétique.

     

    1. Carte d’identité

    Couleur acrylique 1

    Les couleurs acryliques ont une consistance onctueuse, donc le coup de pinceau reste bien visible. Vous pouvez aussi mélanger la peinture avec de l’eau, ou avec des médiums appropriés afin de travailler de façon plus liquide ou transparente. Peu salissantes, ces couleurs dégagent une odeur agréable. 

    Autre atout : elles sèchent très rapidement.

     

    Sur les tubes et les flacons, vous trouvez les indications suivantes : le nom de la couleur, la contenance, le code du pigment utilisé, le type d’agglutinant synthétique et certaines caractéristiques comme la solidité, la transparence ou la permanence de la peinture.

     

    2. Fines ou extra-fines ?

    Comme la plupart des peintures, l’acrylique est proposée sous deux formules.

    • Les couleurs fines contiennent moins de pigments purs. Plus économiques, elles n’en sont pas moins de très bonne qualité (les teintes sont cependant moins intenses) ! Vous souhaitez vous initier ? Adoptez-les, elles sont faites pour vous !

    • Les couleurs extra-fines, plus riches en pigments précieux, sont destinées en général aux amateurs confirmés et aux professionnels. Elles sont légèrement plus liquides que les peintures fines ; le choix de teintes est moins large.

     

    Pour les débutants

    Pas de panique, les fabricants de couleurs vous proposent des sets prêts à l’emploi : blanc, noir, trois couleurs primaires et vert. Commencez avec cette base et apprenez à mélanger les couleurs pour obtenir celles dont vous avez besoin. Au fur et à mesure des expériences, complétez votre assortiment !


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    1. La palette

    Choisissez-la exclusivement parmi des modèles en matériaux non poreux : plastique, porcelaine, verre ou papier acrylique.

    Matériel Acrylique 1

    • Votre palette improvisée : une vieille assiette en porcelaine, une plaque de verre épais (veillez à recouvrir les bords de ruban adhésif pour ne pas vous couper) ou un carreau de céramique (demandez un échantillon dans un magasin de bricolage).
    • Le papier palette : un bloc de papier, sur lequel vous préparez vos mélanges. Votre séance terminée, vous n’avez plus qu’à détacher et à jeter la feuille usagée.

     

    2. Le chevalet

    Matériel Acrylique 2

    Chevalet d’atelier, chevalet d’étude ou chevalet de table : lequel choisir ? Tout dépend de vos habitudes !

    • Vous peignez plutôt sur grand ou petit format ?
    • Vous préférez travailler debout ou assis ?
    • Disposez-vous de suffisamment d’espace ?
       

    Réponses :

    • Les chevalets d’atelier mesurent jusqu’à 1,80 m. Il est possible d’en régler la hauteur et l’inclinaison. Idéal pour ceux qui disposent d’un atelier ou d’une pièce dédiée à leur passion et apprécient de travailler sur des grands formats.
    • Les chevalets de table ne dépassent pas 60 cm. Pratiques si vous manquez d’espace.
    • Les chevalets d’étude sont destinés aux amoureux du plein air : légers (2,5 kg), ils possèdent des pieds télescopiques réglables. Leur plus grand défaut : ils ont tendance à manquer de stabilité.

     

    3. Les pinceaux

    Ce sont les mêmes que ceux utilisés en peinture à l’huile. Le mieux est de vous constituer un assortiment de pinceaux de touffes de formes différentes : vous pourrez jouer avec les touches, les effets de matière et les tracés !

    Pensez votre assortiment de pinceaux en fonction de l’usage que vous voulez en faire :

    Pinceau 1

    Les Pinceaux pour fond

    Ils servent à poser les grandes masses colorées de votre tableau. Pour ce faire, on utilisera un spalter ou de larges pinceaux.

    Pinceau 2

    Les Pinceaux pour Motif

    Utilisé pour la pose du sujet, on se servira idéalement de pinceaux plats. Leur taille dépendra de la finesse de votre sujet et de la dimension de votre support.

     

    Pinceau 3

    Les Pinceaux pour Détail

     Pour cela, on utilisera les pinceaux ronds ou en pointe. Nerveux et précis, ils permettent d'apporter la finesse qui finalisera votre œuvre.

     

     

    Les classiques

    • La brosse universelle : avec sa touffe plate large de 2,5 cm, elle a une forte capacité à retenir la couleur diluée. Votre outil de prédilection pour poser les lavis.

    • La brosse plate : avec ses poils raides et courts, elle est pratique pour appliquer la peinture par petites touches pâteuses.

    • Le pinceau rond effilé : chargez-le bien en couleur et vous tracerez, sans interruption, de longues et harmonieuses lignes de couleur.
       

    Les originaux

    • La brosse en éventail à poils durs : pour varier les effets avec une couleur peu diluée. Vous excellerez dans la représentation de feuillages délicats.

    • La brosse en éventail Kolinski : plus épaisse que la précédente, elle absorbe une plus grande quantité de couleur. Idéal pour peindre des détails de la composition avec précision : cheveux, feuillages, reflets sur l’eau…

    • La brosse en langue de chat : pour traiter tous les contours arrondis, appliquer des aplats ou des glacis.

    • La pointe extra-fine : irremplaçable pour traiter détails et finitions.

    • La brosse à pochoir : pour réaliser des frottis.

     

    Une question de taille

    Les tailles de pinceaux peuvent varier d’un fabricant à un autre. Ils sont classés du plus fin au plus épais, du N°0 au N°24, les brosses ont un classement différent selon la largeur. Chaque fabricant a sa spécificité, les épaisseurs et longueurs d’un même numéro peuvent varier.

     

    Poils naturels ou synthétiques ?

    Une suggestion : rien ne sert de se forcer à choisir… Combinez les deux !

    Poils naturels

    Les poils naturels

    • Les poils de martre retiennent bien la peinture, pour une application facile et fluide. Un bémol : leur coût. Il vous faudra les entretenir avec amour.

    • Les soies de porc : à l’origine, ces pinceaux sont destinés à la peinture à l’huile. Vous les apprécierez pour leur robustesse, au moment d’appliquer des empâtements par exemple.

     

    Les fibres synthétiques

    Ces pinceaux concurrencent très honorablement ceux en poils naturels.

    • Vous les trouvez dans des tailles et des formes différentes.

    • Vous les nettoyez très facilement.

    • Ils résistent à une utilisation vigoureuse (empâtements, ajouts de charges).

    •  Dernier atout : ils sont moins chers !

     

    Petite anatomie du pinceau

    Pinceau 4

    Un pinceau est constitué des éléments suivants :


    A. Poils : fibres synthétiques ou poils naturels, ils doivent garder leur forme même mouillés.
    B. Touffe : elle absorbe la peinture et la libère progressivement.
    C. Racine : c’est la zone où sont insérées les fibres dans la virole.
    D. Virole : véritable collier métallique, elle maintient le manche et les poils.
    E. Manche : protégé par un vernis, il mentionne généralement le nom du fabricant, la gamme, la taille et la fibre sélectionnée.

     

    4. Et les couteaux…

    La peinture acrylique vous permet de peindre au couteau. Le couteau à peindre, avec sa lame angulaire à bout pointu ou arrondi, est utilisé pour appliquer des touches de peinture sur le support. Le couteau à palette possède une lame droite et arrondie pour mélanger les couleurs sur la palette.

     

    5. Et aussi…

    • Un crayon à papier ou un fusain pour l’esquisse.

    • Une éponge, un chiffon doux, un rouleau d’essuie-tout, de l’eau.

     

    6. Les médiums

    L’acrylique, d’infinies possibilités plastiques… surtout si vous la travaillez avec des médiums. Allez, essayez-les !

    •  Le médium pour glacis : laiteux au sortir du tube, il devient transparent en séchant. Vous pouvez :

     - l’appliquer au pinceau sur une surface déjà peinte pour créer l’effet d’un voile ;
     - le mélanger à la couleur pour renforcer sa transparence et créer des glacis.

    Médium

    • Le médium acrylique en gel : plus épais que le précédent, il rend les couleurs plus transparentes. Vous obtiendrez des empâtements riches et très denses. Atout indéniable : il sèche très vite !

    • Le médium en pâte acrylique : c’est le médium le plus épais. Diluez-le à l’eau, ses propriétés adhésives demeurent. Il est utilisé pour les empâtements très lourds.

    • Les retardateurs : liquides ou gélifiés, ils permettent de ralentir le temps de séchage de la peinture. Utilisez le gel pour créer des effets de texture par impression ou par empâtements.

     

    7. Les vernis

    Pour protéger votre œuvre une fois sèche, pensez à la vernir.

    • Pour les petits formats, préférez un vernis acrylique brillant : il résiste à l’eau et aux éraflures. Il fait merveilleusement ressortir l’éclat des couleurs.

    • Pour les grands formats, choisissez un vernis acrylique mat : car une grande surface brillante réfléchira la lumière de manière inégale.

    Votre Vernis « sur mesure »

    On peut mélanger les vernis mat et brillant de mêmes types entre eux dans toutes les proportions jusqu'à obtention du degré de brillance souhaité.

    Vernis

    Les remarquables propriétés adhésives de la peinture acrylique vous permettent de modifier sa texture et son aspect. Jouez les apprentis sorciers en lui ajoutant toutes sortes de charges. Pâtes acryliques prêtes à l’emploi ou mélanges maison : lancez-vous !

    • Le marbre en grains : en différentes épaisseurs, de la poudre fine au sable à gros grains. C’est une charge lourde : vous devez la mélanger avec une dose importante d’agglutinant, généralement de la peinture acrylique blanche.

    • Le sable de rivière : une texture irrégulière et originale à ramasser au fil de l’eau. Avant de l’utiliser, lavez-le soigneusement pour le débarrasser de tous résidus organiques.

    • La sciure de bois permet l’application d’empâtements très épais.


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